Le procès pour fraude au tennis est suspendu dès le premier jour à Audenarde

Le procès pour fraude au tennis qui se déroule à Audenarde a été suspendu pour une semaine dès le premier jour. Me Walter Van Steenbrugge, avocat de la défense, a trouvé le dossier confus et demande un inventaire de toutes les pièces. Le tribunal a décidé de prendre cette demande en délibéré et de rendre un arrêt provisoire vendredi prochain....

"Après chaque passage à tabac, il m'apportait des roses et du Dafalgan" : Hatice (24 ans) a été victime de violences conjugales extrêmes pendant deux ans.

Pour Hatice, les conséquences sont désastreuses. Une orbite brisée, un nez cassé, des côtes meurtries, une commotion cérébrale sévère, un tympan perforé et des dommages psychologiques incalculables. Hatice porte plainte contre Isa et peut compter sur l'aide de Walter Van Steenbrugge. "J'avais terriblement peur qu'il s'en sorte. Alors...

Fuite de gaz à la porte, bombe dans la salle d'audience : la défense veut un remaniement complet du dossier sur la mafia arménienne du tennis

Aujourd'hui s'est ouvert le procès d'un gang arménien qui a truqué le résultat de quelque 400 matchs de tennis. Il y a peut-être eu une fuite de gaz devant le palais de justice ce matin, mais la véritable explosion a été causée par l'avocat Walter Van Steenbrugge. Il a qualifié le dossier d'"une poubelle" et a demandé à ce qu'il soit retravaillé. A suivre...

Jeu, set et millions d'euros : les joueurs de tennis belges, qui ont déjà perdu un match, fournissent au gang arménien des profits faramineux.

Les joueurs de tennis qui ont déjà délibérément envoyé un service dans le filet, ou plus précisément, ont perdu un match entier. Cela a permis à la mafia des paris d'engranger des millions d'euros de bénéfices. Dans le même temps, les athlètes pouvaient gagner un joli penny supplémentaire. Vendredi, au tribunal d'Audenarde, 28 suspects sont jugés pour avoir truqué des matchs à grande échelle, parmi lesquels...

Le "chevalier au cheval blanc" écope de quatre ans de prison pour violence conjugale extrême : "Sa petite amie était méconnaissable".

K.B., un jeune homme de 24 ans originaire de Gand, a été condamné jeudi à quatre ans de prison pour des actes de violence extrême à l'égard de sa partenaire. Il a maltraité sa compagne au point qu'elle s'est retrouvée à l'hôpital et n'a pas pu travailler pendant quatre mois. La victime a également entendu comment l'homme a minimisé les faits. "Dommage que ce soit arrivé...